Archives de catégorie : Sortie

« Domitilla va in città », un court-métrage primé réalisé par les élèves de la 3ème bilangue d’italien (6/7)

Dans le cadre de la sixième édition du Concours « Sotto diciotto film Festival de Turin », concours de courts-métrages en langue italienne, section spéciale consacrée aux établissements scolaires français, en partenariat avec l’Institut culturel italien et avec le Consulat général d’Italie de Paris, les 23 élèves de 3ème bilangue d’italien de notre établissement (306/307) ont réalisé un court-métrage  « Domitilla va in città ».

Le thème était: « Ritroviamo le stagioni in città! » « Retrouvons les saisons dans la ville », inspiré du recueil de nouvelles « Marcovaldo ovvero le stagioni in città » de Italo Calvino dont on célébrait le centenaire de la naissance.

L’écriture du scénario a été le fruit d’un travail collectif mené avec beaucoup de sérieux par les élèves pendant le premier trimestre. Ils se sont librement inspirés du thème pour en arriver à une histoire vraie.

 

« Domitilla va in città » (Domitilla va en ville)

Collège Jean Jaurès Saint-Ouen produzione.

Automne 2024 : Une jeune fille ukrainienne, Domitilla, a dû quitter son village natal à cause de la guerre et fréquente le collège Jean Jaurès. La classe constate son absentéisme et sa mélancolie dus au déracinement et décide d’organiser une fête d’automne pour combler un tant soit peu le manque du pays par l’amitié et la solidarité… Entre les notes de l’Automne de Vivaldi et le tube du dernier voyage scolaire en Vénétie : « Credo nel noi », « je crois dans le nous », la solidarité se répand au collège Jean Jaurès… et la joie qui va avec !

Le 26 mars dernier, accompagnés par la cheffe d’établissement Mme Dal Cappelo et par Mme Amoroso, les élèves ont participé à la cérémonie de remise des prix organisée par le Consulat d’Italie.

Les trois premiers courts-métrages récompensés ont été visionnés, et notre établissement a été classé troisième dans la section collège.

Mani, avec beaucoup d’aisance et en langue italienne, a présenté l’origine du scénario devant les autorités présentes :

  • Monsieur Albergoni, Consul Général,
  • Monsieur Calbi, Directeur de l’Institut Culturel Italien,
  • Mme Colet, référente pour l’enseignement cinématographique de A.I.A.C.,
  • Mme Potenza et Mme Nannoi, coordinatrices du projet,
  • Les chefs d’établissements des établissements scolaires primés,
  • Les Inspecteurs Pédagogiques Régionaux d’Italien des trois académies et l’Inspectrice générale. Quelle émotion !

Nous tenons à féliciter nos élèves pour cette belle réalisation !

CONGRATULAZIONI ! SIETE STATI BRAVISSIMI ! Che bella soddisfazione !

Ciak ! Si gira …Bon visionnage à toutes et à tous!

 

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Parcours culturel et artistique in italiano : Giacometti et Morandi  à l’Institut Giacometti

La deuxième étape du  parcours culturel et artistique croisé de la 3ème 6/7 bilangue d’Italien  prévoyait deux visites à l’Institut Giacometti.

  • Le 21 janvier de 10h à 12h pour un Atelier de création artistique et une visite guidée de l’exposition
  • Le 13 février de 10h à 12h pour sensibiliser nos élèves à l’oralité devant les œuvres, en français et en italien aux côtés d’une médiatrice bilingue, et de déverrouiller leur regard à travers une approche du dessin.

Le mardi 21 janvier les élèves italianisants ont visité l’Institut Giacometti à Paris. Cette visite s’inscrit dans un parcours culturel incluant l’Arte Povera et les œuvres de Giacometti et Morandi, deux artistes contemporains mais qui ne se sont jamais rencontrés. Lors de cette sortie, nous avons exploré l’exposition « Moments immobiles » et participé à un atelier de sculpture en argile inspiré par Giacometti.

Nous avons particulièrement aimé l’atelier de sculpture. Équipé d’un bloc d’argile et d’un bâton en bois, chacun était libre de choisir son sujet. La plupart ont créé des figures humaines élancées et stylisées, rappelant les sculptures de Giacometti soutenues par des structures métalliques fabriquées par son frère Diego.

Cette expérience a été très enrichissante, nous permettant de découvrir et d’approfondir notre connaissance des artistes contemporains qui, dans leur exploration et quête de la représentation subjective du réel, se sont inspirés de figures telles que Giotto, Claude Monet et Paul Cézanne. Morandi découvrit les primitifs italiens en 1910 à Florence, tandis que Giacometti les observa en 1920 à Venise et à Padoue. Ils les ont remarqués pour leur attention aux formes simples et épurées. Par la suite, entre 1918 et 1920, ces deux artistes ont produit des œuvres « métaphysiques ».

Le 13 février, dans le cadre du programme « Élèves en résidence », les élèves ont exploré les œuvres de Giacometti et Morandi avec Julie, une médiatrice bilingue en italien. Les activités interactives ont enrichi leur vocabulaire artistique italien et amélioré leurs capacités d’observation, d’analyse et d’expression orale. Ils ont ensuite présenté une œuvre en italien à leurs camarades.

Après une introduction et un rappel en italien pour vérifier les acquis de la première visite, les questions « Quali strumenti usa un pittore come Morandi ? » ou « Quali materiali preferiva Giacometti per le sue sculture ? » ont été posées. La médiatrice a ensuite présenté une œuvre de Giacometti et une œuvre de Morandi, introduisant du vocabulaire spécifique avec présentation des objets utilisés tels que la toile, le pinceau, le bronze, le ciseau. L’objectif était d’apprendre à décrire une œuvre en utilisant le vocabulaire de la peinture et de la sculpture.

Une chasse à l’œuvre a suivi. En groupes de cinq, les élèves ont reçu la description en italien d’une œuvre et ont dû explorer l’exposition afin d’identifier l’œuvre correspondante. L’objectif de cette étape était d’encourager l’observation attentive et l’application du vocabulaire appris.

Une fois leur œuvre repérée, chaque groupe a reçu une enveloppe contenant un nuancier de couleurs et une liste de vocabulaire. Ils ont alors préparé et effectué une courte description orale de l’œuvre identifiée, sans en dévoiler le titre. Les autres groupes devaient deviner de quelle œuvre il s’agissait.

Voici les impressions de nos élèves spécialisés en critiques d’art, guides linguistiques en italien et artistes en devenir :

Lors de cette sortie, j’ai découvert l’exposition sur Giacometti et Morandi, deux artistes aux styles très différents. Les sculptures élancées de Giacometti m’ont particulièrement marquée, dégageant une impression de fragilité et d’intensité. En revanche, le travail de Morandi m’a fascinée par sa simplicité et sa précision : il prenait des objets du quotidien et les dessinait sous différents angles, révélant leur beauté subtile et leur structure fondamentale.

Ensuite, j’ai participé à un atelier de sculpture où nous avons créé nos propres œuvres en laissant libre cours à notre imagination. Cette expérience m’a permis d’explorer différentes techniques et de voir comment les sculptures en argile peuvent être créées et avec quelles manières.

Purtroppo, non ho potuto partecipare alla seconda uscita, durante la quale è stata organizzata una visita guidata, seguita dalla preparazione di una presentazione di un’opera in italiano in gruppo.
Lyana NEUTEL

J’ai trouvé les deux expériences culturelles à l’Institut Giacometti très intéressantes. L’exposition sur Giacometti et Morandi m’a permis de mieux comprendre leurs approches artistiques. L’atelier de sculpture m’a beaucoup plu car j’ai eu la chance de réaliser de mes mains une sculpture tout en m’amusant. La visite guidée était également divertissante, intéressante et interactive.
Léa MILJKOVIC

L’institut Giacometti est un petit musée très minimaliste qui est basé sur un artiste en particulier qui est Alberto Giacometti. Il faisait généralement des sculptures d’hommes debout faits avec du plâtre qu’il faisait tenir à l’aide de fils de fer, mais il y avait aussi pas mal de tableaux. On a aussi pu voir son atelier qui a été déplacé dans le musée. Mi è piaciuta molto l’esposizione ma trovo che tutte le sculture del museo siano simili.

Atelier sculpture à la manière de Giacometti:

Lors de notre première visite à l’institut Giacometti, nous avons eu la chance de pouvoir assister à un atelier sculpture à la manière de Giacometti. Nous devions faire un socle à base d’argile et à partir de cela nous devions créer une personne, le moment était super amusant et très agréable. Mi è piaciuto molto questo laboratorio e Lily la nostra maestra dell’atelier è stata molto simpatica e paziente!

Lors de notre deuxième visite à l’institut Giacometti une guide italophone nous a présenté les œuvres et nous avons dû, par groupes, trouver à l’aide de plusieurs indices l’œuvre qui correspondait. Par la suite, nous avons dû la décrire en italien. Mi è piaciuta molto la piccola caccia all’ opera  in gruppo!
Mona BEN HARZALLAH

L’institut Giacometti est un musée entièrement consacré à l’artiste Alberto Giacometti. Celui-ci était connu pour ses sculptures originales et ses tableaux de nature morte.

J’ai beaucoup aimé ce musée, j’ai trouvé ça plutôt incroyable qu’ils aient pu reconstituer parfaitement son atelier. Son art m’a aussi marquée : je pense que la raison pour laquelle il se fait connaître est ses sculptures qui ont souvent cette forme très grande, longue et fine, ce qui nous permet de nous rappeler de son œuvre. Ses tableaux de nature morte ont aussi beaucoup attiré mon attention car on voit très rarement des tableaux à l’huile aussi précis et réalistes. J’ai trouvé l’explication sur sa vie très intéressante. Les médiatrices étaient très compétentes et arrivaient à nous captiver en nous faisant participer et en nous proposant des activités comme de la sculpture et un escape Game. J’ai beaucoup aimé l’activité sculpture car on a pu se mettre dans la peau de l’artiste d’une façon amusante, et l’escape Game était très ludique car on a pu découvrir plus le musée et approfondir le travail sur certaines œuvres.

L’arte di Alberto Giacometti mi è piaciuta molto perché è diversa dalle altre e la storia che c’è dietro è molto interessante.
Melissa KAID

J’ai beaucoup aimé cette sortie, on a fait une sorte de chasse au trésor puis on a étudié l’histoire et l’origine de l’œuvre d’art pendant 30 minutes par œuvre, la fois d’avant on a participé à un atelier ou on devait sculpter quelque chose avec de l’argile à la manière de Giacometti :  j’ai adoré !  J’ai réalisé une carte de l’Europe contrairement à mes camarades qui ont réalisé des personnages.

Grazie !
Zakaria RBAH

Les 5e2 à Paris pour présenter un ouvrage à succès

« Pour la 5e2 2024-2025 du collège Jean Jaurès de St-Ouen, mes meilleurs lectrices et lecteurs. Bravo !! Mathias ». C’est par ces mots que Mathias Gardet a dédicacé son livre « Nous sommes venus en France. Voix de jeunes Algériens 1945-1963 », paru chez Anamosa et récemment décoré du grand prix du livre de l’institut du monde arabe.
Retour sur un projet rondement mené par des élèves passionnés autour de ce livre passionnant.

Sur la proposition d’Alexis Argyroglo, libraire à la Petite Egypte, dans le quartier du Sentier, les élèves de 5e2 ont découvert l’ouvrage de Mathias Gardet, historien spécialiste de l’histoire de la justice des mineurs, et responsable du centre d’exposition « Enfants en justice » situé à Savigny-sur-Orge, entre les murs de l’ancien centre d’observation. Cet établissement accueillait jusqu’au milieu des années 1970, des jeunes garçons ayant tous entre 13 et 20 ans, pendant trois mois avant décision définitive du juge des enfants. L’objectif y était double : éviter le séjour des mineurs en prison et enquêter sur leur personnalité afin d’assurer leur orientation éducative et professionnelle.

C’est dans le grenier de cet établissement quasi pénitentiaire que Mathias Gardet a découvert, par hasard, environ 25 000 dossiers réunissant les fameux tests de personnalité de chaque mineur, souvent déguisés en exercices scolaires de rédaction ou de dessin. Parmi tous ces dossiers, Mathias Gardet a fait le choix d’étudier spécifiquement ceux des jeunes Algériens qui ont connu une expérience migratoire entre 1945 et 1963, aboutissant à ce livre étudié par nos élèves.

Les 5e2 divisés en 5 groupes, avaient pour mission de travailler spécifiquement sur un thème de l’ouvrage : l’expérience migratoire (causes et parcours), l’arrivée en France et l’installation, la vie des mineurs (travail, école et loisirs), les arrestations et leurs causes, la vie dans le centre de Savigny.

Après 3 séances de travail en classe, les élèves ont présenté leurs exposés à Mathias Gardet spécialement venu au collège pour l’occasion, en compagnie du libraire Alexis Argyroglo. La fin de la séance s’est transformée en conférence de presse, dans laquelle l’auteur a dû répondre aux questions des 5e, avant de confier, en off, que « les questions posées étaient souvent meilleures que celles que des adultes me posent d’habitude ».

Mais le grand moment était ce vendredi après-midi, à l’occasion de l’inauguration du festival annuel de la librairie Petite Egypte. Dans une journée sur le thème de l’Algérie, nos Jauressiens et Jauressiennes ont pu présenter leur travail aux lecteurs parisiens spécialement venus pour l’occasion et qui n’ont pas tari d’éloges sur les prestations orales des 5e2.

Quel meilleur cadeau que le livre en question, offert par la librairie, et dédicacé par l’auteur, pour cette promotion 2024-2025 des 5e2… ?

Prochaine et ultime étape du projet : la visite du centre de Savigny, prévue en mai. Nous avons déjà hâte d’y être !

La 301 en sortie au musée des arts décoratifs

La semaine dernière, dans le cadre de leur parcours “artisanat et métiers d’arts” mené en collaboration avec l’association culture prioritaire, la classe de 3eme1 s’est rendu au musée des arts décoratifs à Paris.
C’était leur seconde visite du musée en quelques mois. La première fois, ils avaient pu observer un parcours de découverte des métiers du bois à travers une sélection d’objets traversant les époques en lien avec les métiers de la menuiserie, l’ébénisterie et de la marqueterie.
Cette fois, nous avons pu leur proposer un parcours lié à un métier d’artisanat d’art moins rependu aujourd’hui, le métier de tapissier.  A la suite du parcours, les 3eme1 ont pu s’initier aux différentes techniques du tissage dans le cadre d un atelier pédagogique.
Merci à Martin, de l’association Culture prioritaire, pour son écoute et la mise en place d un parcours en lien avec les besoins d’acculturation à ces métiers liés au monde professionnel mais peu connu de nos élèves.

Parcours artistique et culturel de la 3ème 6/7 bilangue italien: l’Arte Povera à la Fondation Pinault

La classe de 3ème 6/7 bilangue d’italien a eu la possibilité de vivre un parcours Artistique et Culturel croisé en italien : « Giacometti, Morandi et l’Arte Povera…. Les apparences et l’être ».

En première étape de ce parcours, les élèves ont découvert le 2 décembre dernier «l’Arte Povera » à la Bourse du commerce, ce musée somptueux  au cœur de Paris, la fondation Pinault.

Notre guide bilingue Bartolomeo nous a fait découvrir le travail de quelques artistes de l’Arte Povera qui naît au milieu des années 1960.

Les artistes italiens commencent alors à créer des œuvres qui rendent visibles les forces de l’énergie, au moyen de matériaux et de techniques simples. Se détournant d’une représentation figurative du monde, ils préfèrent créer des situations « réelles », qui donnent lieu aux premières installations d’art contemporain. Le processus de métamorphose d’une œuvre d’art est l’un des fondements de l’Arte Povera .

L’œuvre « Idee di pietra, 1532 kg di luce », de l’artiste Giuseppe Penone, accueille les visiteurs sur le parvis de la Bourse du Commerce.

Plus qu’une visite, il s’agit d’une expérience immersive où le spectateur participe aux installations de 13 artistes italiens qui, dans les années 60, ont créé ce mouvement d’où sont nées les « installations » et les « performances » dans l’art contemporain.

Le mélange des matières, la présence de l’énergie, l’idée de transformation, l’échange avec la nature, les objets du quotidien et l’œuvre de l’être humain, rendent cette visite originale et poétique.

Voici quelques impressions de nos critiques d’art contemporain en herbe :

« La Bourse de Commerce est un lieu dédié à l’art contemporain, situé au cœur de Paris. Ce bâtiment historique a été transformé par la Fondation Pinault pour accueillir des expositions d’artistes du monde entier. Le contraste entre l’architecture ancienne et les éléments modernes en fait un espace remarquable pour découvrir des œuvres uniques.
L’Arte Povera est un mouvement artistique italien des années 1960 qui utilise des matériaux simples et naturels comme le bois, la pierre ou le tissu. Les artistes cherchaient à s’éloigner de l’art traditionnel pour explorer des concepts profonds sur la nature, la société et la relation de l’humain avec son environnement.
Mi è piaciuta l’esposizione perché era organizzata e facile da capire. Le opere erano molto diverse e interessanti. Mi hanno fatto pensare e riflettere. Anche il museo era bello e accogliente, con tanto spazio per vedere tutto tranquillamente. »

Abdul Moqeet MOHAMMAD

« La Bourse du Commerce, située à Paris, est un musée contemporain abritant la collection de la Fondation Pinault. L’édifice, restauré par Tadao Ando, allie histoire et modernité avec des espaces conçus pour sublimer l’art contemporain.
L’Arte Povera est un mouvement artistique italien des années 1960-1970. Il se caractérise par l’utilisation de matériaux simples ou naturels… pour critiquer la société de consommation et mettre en avant l’essence brute des objets.
J’ai particulièrement aimé une œuvre de Giovanni Anselmo, un artiste clé de l’Arte Povera. Son œuvre « Untitled (Structure That Eats) » m’a impressionnée par sa simplicité et sa force symbolique, illustrant le passage du temps à travers des matériaux en transformation. Elle m’a marquée par son message universel et intemporel.
Pour finir j’ai adoré cette sortie, et j’aimerais que ce parcours continue. »

Syrina ZAIBA

« …Dans ce musée il y a différents types d’œuvres comme la peinture, des sculptures, des vidéos, des photos, des objets et même de la nourriture qui ne se mange pas évidemment.
L’Arte Povera, qui signifie « l’art pauvre », a commencé à être adopté en Italie dans les années 1960. Il a été nommé ainsi par le critique d’art italien Germano Celant en 1967. L’Arte Povera est réalisé avec des matériaux simples, naturels (terre, pierre, bois,etc….) ou encore industriels comme le verre. En résumé il est composé de matériaux considérés comme pauvres.
L’auteur de mon œuvre préférée nommée « Alpi Marittime » créée en 1968 est Giuseppe Penone. C’est un artiste italien qui a fait plusieurs œuvres autour de la nature. J’aime cette œuvre car je pense qu’en prenant une photo d’un arbre, l’auteur nous montre indirectement sa relation avec la nature ce que je trouve intéressant.
Mi è paciuta molto l’esposizione perché le opere esposte erano molto strane e originali ma interressanti. Non avevo mai visto questo tipo di opere d’arte come per esempio il materasso, c’era un filo bianco attorno al materasso che avviava una trasformzione dell’opera d’arte. È stata un’esperienza meravigliosa e originale. »

Liam Julien FACON

« …J’ai beaucoup apprécié plusieurs œuvres comme les matelas qui moisissent au contact de tubes de fer. J’ai également aimé deux courts métrages qui m’ont beaucoup fait réfléchir par rapport à ma vision de l’art. Certaines œuvres étaient en parfait équilibre et d’autres façonnées à l’aide de la nature (réplique de pierres, arbre ayant grandi entouré de fils de fer…) »

Hamza HMAID

« …Ce que j’ai préféré, ce sont les installations impressionnantes, comme celles où des objets du quotidien sont transformés en œuvres d’art. Cela m’a fait réfléchir sur l’importance des choses simples. Par contre, certaines œuvres étaient difficiles à comprendre sans explications. Heureusement notre guide Bartolomeo nous a accompagnés à la découverte des quelques œuvres symboliques, nous donnant des clés de lecture.
Je recommande cette visite, car elle permet de découvrir un art original et engagé. »

Amine LACHGAR

« …J’ai aimé l’œuvre de Giuseppe Penone qui s’appelle Alpi Marittime car je n’avais jamais vu d’œuvre comme elle avant.
L’esposizione mi è piaciuta perché ho potuto vedere nuovi lavori è mi ha permesse di scoprire opere uniche e  originali.»

 Feriel TIBOURTINE

« La sortie scolaire à la Bourse du Commerce de la collection Pinault ne m’a pas plu. Je pensais voir des peintures, des sculptures mais non il a fallu qu’on voit des matelas moisis, une salade entre deux blocs, deux rochers identiques, une grande plaque de verre avec rien dessus, un fil de fer qui tient tout seul des tas de vêtements, une statue qui se jette de l’eau, des bottes de foin. Je ne vois pas en quoi c’est de l’art moderne je trouve ça horrible comparé à une autre sortie comme au Louvre, mais ça reste mon point de vue, je ne critique pas celui des autres… »

Zakaria RBAH

« …Désormais, je sais que l’Arte Povera veut dire « art pauvre » et que c’est un art qui n’était pas utilisé par les artistes pour avoir de la visibilité seul mais c’était un projet en groupe. Je sais aussi que cet art est apparu en 1960 et qu’il était assez commun chez les artistes de laisser le contrôle de l’œuvre à la nature ce qui faisait que l’œuvre changeait au fur et à mesure du temps.
L’auteur que j’ai le plus aimé est Pier Paolo Calzolari et l’œuvre que j’ai préférée est son œuvre sans nom avec les matelas et les tuyaux couverts de glace autour de ceux-ci. J’ai beaucoup aimé cette œuvre car j’aime le fait que l’auteur ait laissé l’humidité sur les matelas pour que la moisissure puisse se dessiner sur ceux-ci. J’aime aussi l’idée que le matelas représente une toile et que l’humidité peint le matelas en le recouvrant de moisissure…
Mi è piaciuta l’esposizione perche era interessante e parla della storia italiana. Mi è piaciuto il fatto che l’autore abbia permesso che la natura faccesse il lavoro.”

Mani NIARE

« La Bourse Du Commerce est un musée avec des œuvres très originales et inattendues.
J’ai appris que «  l’Arte Povera » c’est faire de l’art mais avec peu de moyens.
L’œuvre que j’ai le plus aimée est la carte de monde où chaque pays est représenté avec son drapeau. L’œuvre se nomme la « Mappa » qui a été réalisée par Alighiero Boetti.
L’esposizione mi piacuito perchè le opere sono originali. Grazie! »

Mona BEN HARZALLAH

« …Maintenant je sais que L’Arte Povera c’est vraiment de l’art pauvre. Je m’explique, je ne pensais pas voir des matelas avec de la moisissure accrochés sur un mur ou même des pommes de terre sur le sol, il y aussi la feuille de laitue contre une pierre. Ceci m’a rendu perplexe. On peut bien voir qu’ils n’ont pas utilisé de grands outils chers pour constituer les œuvres…
J’ai beaucoup aimé l’œuvre des plaques d’eau avec différentes nuances de bleu. Je n’ai pas pu trouver le nom de l’artiste, mais je peux la décrire, cette œuvre était dans une grande pièce, les plaques étaient sur le sol , créant un sorte de triangle mais sans un troisième côté, il y avait plusieurs nuances de bleu ce qui était très beau.
Mi è piaciuta l’esposizione perché ho potuto scoprire nuove opere e capire come possono essere concepite le diverse forme di “Arte Povera”. Mi è piaciuta il fatto che abbiamo potuto visitare diverse opere su questa corrente artistica. »

Lyana NEUTEL

« …L’auteur que j’ai le plus aimé est Alighiero Boetti , qui a réalisé « Mappa ». Je l’ai beaucoup aimée car elle est fascinante et elle représente tous les pays du monde de façon minutieuse.
L’esposizione mi è piaciuta perché mi ha permesso di scoprire opere originali e uniche.»

Lina HARROUCHE

« …Maintenant, je sais que l’Arte Povera est un art ou l’être humain commence le travail et la nature le termine…
L’œuvre qui m’a le plus plu est celle de Giuseppe Penone intitulée Alpi Marittime car on peut clairement voir le travail effectué par la nature et l’homme.
Mi piaciuta molto l’esposizione perché  ho scoperto l’Arte Povera. »

Léa MILJKOVIC

« …L’Arte Povera est en fait un art où l’on créé quelque chose non pas pour son apparence mais pour le message d’erreur qui est souvent plus important que l’œuvre elle-même. Je ne me souviens pas des auteurs, mais j’ai beaucoup aimé toutes les œuvres qui étaient dans le musée.
Mi è piaciuta l’esposizione perché per me è stata una fonte di apprendimento e mi ha permesso di scoprire l’Arte Povera. »

Melissa KAID