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Parcours culturel et artistique in italiano : Giacometti et Morandi  à l’Institut Giacometti

La deuxième étape du  parcours culturel et artistique croisé de la 3ème 6/7 bilangue d’Italien  prévoyait deux visites à l’Institut Giacometti.

  • Le 21 janvier de 10h à 12h pour un Atelier de création artistique et une visite guidée de l’exposition
  • Le 13 février de 10h à 12h pour sensibiliser nos élèves à l’oralité devant les œuvres, en français et en italien aux côtés d’une médiatrice bilingue, et de déverrouiller leur regard à travers une approche du dessin.

Le mardi 21 janvier les élèves italianisants ont visité l’Institut Giacometti à Paris. Cette visite s’inscrit dans un parcours culturel incluant l’Arte Povera et les œuvres de Giacometti et Morandi, deux artistes contemporains mais qui ne se sont jamais rencontrés. Lors de cette sortie, nous avons exploré l’exposition « Moments immobiles » et participé à un atelier de sculpture en argile inspiré par Giacometti.

Nous avons particulièrement aimé l’atelier de sculpture. Équipé d’un bloc d’argile et d’un bâton en bois, chacun était libre de choisir son sujet. La plupart ont créé des figures humaines élancées et stylisées, rappelant les sculptures de Giacometti soutenues par des structures métalliques fabriquées par son frère Diego.

Cette expérience a été très enrichissante, nous permettant de découvrir et d’approfondir notre connaissance des artistes contemporains qui, dans leur exploration et quête de la représentation subjective du réel, se sont inspirés de figures telles que Giotto, Claude Monet et Paul Cézanne. Morandi découvrit les primitifs italiens en 1910 à Florence, tandis que Giacometti les observa en 1920 à Venise et à Padoue. Ils les ont remarqués pour leur attention aux formes simples et épurées. Par la suite, entre 1918 et 1920, ces deux artistes ont produit des œuvres « métaphysiques ».

Le 13 février, dans le cadre du programme « Élèves en résidence », les élèves ont exploré les œuvres de Giacometti et Morandi avec Julie, une médiatrice bilingue en italien. Les activités interactives ont enrichi leur vocabulaire artistique italien et amélioré leurs capacités d’observation, d’analyse et d’expression orale. Ils ont ensuite présenté une œuvre en italien à leurs camarades.

Après une introduction et un rappel en italien pour vérifier les acquis de la première visite, les questions « Quali strumenti usa un pittore come Morandi ? » ou « Quali materiali preferiva Giacometti per le sue sculture ? » ont été posées. La médiatrice a ensuite présenté une œuvre de Giacometti et une œuvre de Morandi, introduisant du vocabulaire spécifique avec présentation des objets utilisés tels que la toile, le pinceau, le bronze, le ciseau. L’objectif était d’apprendre à décrire une œuvre en utilisant le vocabulaire de la peinture et de la sculpture.

Une chasse à l’œuvre a suivi. En groupes de cinq, les élèves ont reçu la description en italien d’une œuvre et ont dû explorer l’exposition afin d’identifier l’œuvre correspondante. L’objectif de cette étape était d’encourager l’observation attentive et l’application du vocabulaire appris.

Une fois leur œuvre repérée, chaque groupe a reçu une enveloppe contenant un nuancier de couleurs et une liste de vocabulaire. Ils ont alors préparé et effectué une courte description orale de l’œuvre identifiée, sans en dévoiler le titre. Les autres groupes devaient deviner de quelle œuvre il s’agissait.

Voici les impressions de nos élèves spécialisés en critiques d’art, guides linguistiques en italien et artistes en devenir :

Lors de cette sortie, j’ai découvert l’exposition sur Giacometti et Morandi, deux artistes aux styles très différents. Les sculptures élancées de Giacometti m’ont particulièrement marquée, dégageant une impression de fragilité et d’intensité. En revanche, le travail de Morandi m’a fascinée par sa simplicité et sa précision : il prenait des objets du quotidien et les dessinait sous différents angles, révélant leur beauté subtile et leur structure fondamentale.

Ensuite, j’ai participé à un atelier de sculpture où nous avons créé nos propres œuvres en laissant libre cours à notre imagination. Cette expérience m’a permis d’explorer différentes techniques et de voir comment les sculptures en argile peuvent être créées et avec quelles manières.

Purtroppo, non ho potuto partecipare alla seconda uscita, durante la quale è stata organizzata una visita guidata, seguita dalla preparazione di una presentazione di un’opera in italiano in gruppo.
Lyana NEUTEL

J’ai trouvé les deux expériences culturelles à l’Institut Giacometti très intéressantes. L’exposition sur Giacometti et Morandi m’a permis de mieux comprendre leurs approches artistiques. L’atelier de sculpture m’a beaucoup plu car j’ai eu la chance de réaliser de mes mains une sculpture tout en m’amusant. La visite guidée était également divertissante, intéressante et interactive.
Léa MILJKOVIC

L’institut Giacometti est un petit musée très minimaliste qui est basé sur un artiste en particulier qui est Alberto Giacometti. Il faisait généralement des sculptures d’hommes debout faits avec du plâtre qu’il faisait tenir à l’aide de fils de fer, mais il y avait aussi pas mal de tableaux. On a aussi pu voir son atelier qui a été déplacé dans le musée. Mi è piaciuta molto l’esposizione ma trovo che tutte le sculture del museo siano simili.

Atelier sculpture à la manière de Giacometti:

Lors de notre première visite à l’institut Giacometti, nous avons eu la chance de pouvoir assister à un atelier sculpture à la manière de Giacometti. Nous devions faire un socle à base d’argile et à partir de cela nous devions créer une personne, le moment était super amusant et très agréable. Mi è piaciuto molto questo laboratorio e Lily la nostra maestra dell’atelier è stata molto simpatica e paziente!

Lors de notre deuxième visite à l’institut Giacometti une guide italophone nous a présenté les œuvres et nous avons dû, par groupes, trouver à l’aide de plusieurs indices l’œuvre qui correspondait. Par la suite, nous avons dû la décrire en italien. Mi è piaciuta molto la piccola caccia all’ opera  in gruppo!
Mona BEN HARZALLAH

L’institut Giacometti est un musée entièrement consacré à l’artiste Alberto Giacometti. Celui-ci était connu pour ses sculptures originales et ses tableaux de nature morte.

J’ai beaucoup aimé ce musée, j’ai trouvé ça plutôt incroyable qu’ils aient pu reconstituer parfaitement son atelier. Son art m’a aussi marquée : je pense que la raison pour laquelle il se fait connaître est ses sculptures qui ont souvent cette forme très grande, longue et fine, ce qui nous permet de nous rappeler de son œuvre. Ses tableaux de nature morte ont aussi beaucoup attiré mon attention car on voit très rarement des tableaux à l’huile aussi précis et réalistes. J’ai trouvé l’explication sur sa vie très intéressante. Les médiatrices étaient très compétentes et arrivaient à nous captiver en nous faisant participer et en nous proposant des activités comme de la sculpture et un escape Game. J’ai beaucoup aimé l’activité sculpture car on a pu se mettre dans la peau de l’artiste d’une façon amusante, et l’escape Game était très ludique car on a pu découvrir plus le musée et approfondir le travail sur certaines œuvres.

L’arte di Alberto Giacometti mi è piaciuta molto perché è diversa dalle altre e la storia che c’è dietro è molto interessante.
Melissa KAID

J’ai beaucoup aimé cette sortie, on a fait une sorte de chasse au trésor puis on a étudié l’histoire et l’origine de l’œuvre d’art pendant 30 minutes par œuvre, la fois d’avant on a participé à un atelier ou on devait sculpter quelque chose avec de l’argile à la manière de Giacometti :  j’ai adoré !  J’ai réalisé une carte de l’Europe contrairement à mes camarades qui ont réalisé des personnages.

Grazie !
Zakaria RBAH

Les 5e2 à Paris pour présenter un ouvrage à succès

« Pour la 5e2 2024-2025 du collège Jean Jaurès de St-Ouen, mes meilleurs lectrices et lecteurs. Bravo !! Mathias ». C’est par ces mots que Mathias Gardet a dédicacé son livre « Nous sommes venus en France. Voix de jeunes Algériens 1945-1963 », paru chez Anamosa et récemment décoré du grand prix du livre de l’institut du monde arabe.
Retour sur un projet rondement mené par des élèves passionnés autour de ce livre passionnant.

Sur la proposition d’Alexis Argyroglo, libraire à la Petite Egypte, dans le quartier du Sentier, les élèves de 5e2 ont découvert l’ouvrage de Mathias Gardet, historien spécialiste de l’histoire de la justice des mineurs, et responsable du centre d’exposition « Enfants en justice » situé à Savigny-sur-Orge, entre les murs de l’ancien centre d’observation. Cet établissement accueillait jusqu’au milieu des années 1970, des jeunes garçons ayant tous entre 13 et 20 ans, pendant trois mois avant décision définitive du juge des enfants. L’objectif y était double : éviter le séjour des mineurs en prison et enquêter sur leur personnalité afin d’assurer leur orientation éducative et professionnelle.

C’est dans le grenier de cet établissement quasi pénitentiaire que Mathias Gardet a découvert, par hasard, environ 25 000 dossiers réunissant les fameux tests de personnalité de chaque mineur, souvent déguisés en exercices scolaires de rédaction ou de dessin. Parmi tous ces dossiers, Mathias Gardet a fait le choix d’étudier spécifiquement ceux des jeunes Algériens qui ont connu une expérience migratoire entre 1945 et 1963, aboutissant à ce livre étudié par nos élèves.

Les 5e2 divisés en 5 groupes, avaient pour mission de travailler spécifiquement sur un thème de l’ouvrage : l’expérience migratoire (causes et parcours), l’arrivée en France et l’installation, la vie des mineurs (travail, école et loisirs), les arrestations et leurs causes, la vie dans le centre de Savigny.

Après 3 séances de travail en classe, les élèves ont présenté leurs exposés à Mathias Gardet spécialement venu au collège pour l’occasion, en compagnie du libraire Alexis Argyroglo. La fin de la séance s’est transformée en conférence de presse, dans laquelle l’auteur a dû répondre aux questions des 5e, avant de confier, en off, que « les questions posées étaient souvent meilleures que celles que des adultes me posent d’habitude ».

Mais le grand moment était ce vendredi après-midi, à l’occasion de l’inauguration du festival annuel de la librairie Petite Egypte. Dans une journée sur le thème de l’Algérie, nos Jauressiens et Jauressiennes ont pu présenter leur travail aux lecteurs parisiens spécialement venus pour l’occasion et qui n’ont pas tari d’éloges sur les prestations orales des 5e2.

Quel meilleur cadeau que le livre en question, offert par la librairie, et dédicacé par l’auteur, pour cette promotion 2024-2025 des 5e2… ?

Prochaine et ultime étape du projet : la visite du centre de Savigny, prévue en mai. Nous avons déjà hâte d’y être !

Les 3°8 en sortie avec Culture Prioritaire : L’Art de James Cameron

Les élèves de la 3°8 bénéficient également de Culture Prioritaire cette année, et ils ont pu profiter de leur première sortie culturelle en se rendant à la Cinémathèque de Paris le vendredi 18 octobre. À l’ordre du jour : l’exposition L’Art de James Cameron.

Vous ne connaissez peut-être pas son nom, mais vous avez sûrement entendu parler d’un de ces derniers films : Avatar.

That’s right! Les 3°8, accompagnés de Mme Ameijeiras, Mme Cornette et M. Jones, ont pu découvrir une exposition consacrée à toutes les œuvres cinématographiques de ce réalisateur canadien. De Terminator à Titanic, les élèves ont parcouru toute la carrière impressionnante de James Cameron.

En suivant son chemin créatif, les élèves ont appris comment ce cinéaste talentueux a réussi à transformer ses premiers croquis, réalisés pendant son enfance, en blockbusters qui ont dominé le box-office et marqué la pop culture dans le monde entier.

Un grand merci à Culture Prioritaire qui nous a permis de vivre cette belle expérience artistique.

Shana :
Dans la sortie j’ai aimé plusieurs choses, les copies des dessins que James Cameron dessinait lorsque qu’il était jeune. Cela montre qu’il avait déjà de bonnes compétences au dessin à un jeune âge. J’ai aussi apprécié les statuts de ses films Terminator et Avatar car elles étaient très réalistes. Et j’ai surtout apprécié la salle du labyrinthe sur le thème de Avatar avec les lumières bleues parce que on s’y croyait dans le film.

Dechen :
Pendant la sortie à la cinémathèque, j’ai vu beaucoup des choses intéressantes, fascinantes et étonnantes. J’ai beaucoup aimé voir des dessins de jeunesse de James Cameron. J’ai aussi adoré les modèles de Terminator et Avatar, ils étaient incroyablement réalistes et détaillés comme dans les films . Le modèle de Terminator était le plus intéressant et captivant pour moi avec le petit modèle de Terminator (le robot) qui ressemblait à celui du film.

Salma :
J’ai beaucoup aimé les personnages en structure dans la cinémathèque. C’est vraiment très bien réalisé est je pense même y repartir un jour. Je le leur souhaite un très gros courage car ce n’est pas si facile de créer ces sculptures comme cela.

Océane :
J’ai un peu tout aimé mais j’ai surtout aimé la partie de l’expo qui parlait d’Avatar. J’ai appris comment James Cameron faisait les effets spéciaux.

Inès :
J’ai trouvé la fin de l’expo très belle. J’ai appris que James Cameron avait tourné Titanic et Avatar!

Notre capsule spatio-temporelle du voyage en Vénétie et la cérémonie des 15 ans d’Odyssée jeunes.

Depuis 2009, le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, la DSDEN de la Seine-Saint-Denis et la Fondation BNP Paribas développent « Odyssée Jeunes », un programme de subvention unique en France qui contribue au financement des voyages pédagogiques pour les élèves de collèges publics de Seine-Saint-Denis.

En 15 ans, « Odyssée Jeunes » a permis à 62 000 enfants de vivre l’un des 1 530 voyages éducatifs et culturels ainsi réalisés en France et dans le monde !

En mai 2024, dans le cadre du projet de voyage en Vénétie « Culture et création : les arts, ferment du vivre ensemble », (https://vapensiero2024.blogspot.com) cofinancé par Erasmus + et Odyssée Jeunes, les élèves italianisants impliqués ont participé au défi « Capsules spatio-temporelles » proposé par Odyssée Jeunes.

Qu’est qu’une capsule spatio-temporelle ?  Il s’agit d’une œuvre de sauvegarde collective de biens et d’informations, réalisée comme témoignage destiné aux générations futures. Les capsules spatio-temporelles peuvent être créées puis enterrées, ou être ensevelies de manière involontaire.

Avec Odyssée jeunes, nous avons réalisé une capsule spatio-temporelle à l’intention d’autres collèges de la Seine-Saint-Denis en récoltant biens et informations au cours de notre voyage.

Notre capsule a été présentée lors de la cérémonie des 15 ans d’Odyssée jeunes le 18 octobre 2024. Une délégation d’élèves des collèges participants était conviée à cette cérémonie qui a permis de valoriser les projets pédagogiques portés dans le cadre d’Odyssée jeunes, en présence des représentants des institutions soutenant le programme. Ce fut un véritable temps fort pensé pour les élèves et pour permettre aux équipes éducatives d’échanger sur leurs projets respectifs.

L’après-midi, après un mot d’introduction par les partenaires du programme, une compilation de films tournés lors de voyages Odyssée jeunes a été projetée, deux témoignages d’enseignants et d’élèves, dont le nôtre, ont été donnés puis des ateliers en groupes se sont déroulés.

Pour conclure cette journée passionnante, nous avons partagé un temps de convivialité autour d’un délicieux buffet.

Un immense GRAZIE au programme mécène Odyssée jeunes qui donne des ailes à nos projets !

Opération Math’évasion !

« Chers élèves, l’heure est grave. Les vacances sont compromises. Nous sommes enfermés à clef dans le collège. Une clef a été cachée par un ancien collègue dans cette salle, après la rénovation du collège. Vous devez absolument la retrouver pour partir en vacances ! » 

L’entrée en classe ne s’est pas passée comme prévu ce lundi matin pour les élèves de 4e2, participant à leur dernier cours de mathématiques de l’année… Et bien oui, ils se sont retrouvés coincés dans un Escape Game ! 

Le principe de l’escape Game : résoudre une série d’énigmes permettant aux joueurs enfermés dans une pièce de s’échapper, de manière collaborative, où l’organisation et la communication sont essentielles. 

Vous vous en doutez bien, en classe, la prise d’otage n’était que factice et les élèves n’étaient pas séquestrés (Mme Bourgeois n’est pas un tyran tout de même), les énigmes à résoudre menaient vers une fausse clef (la salle n’étant pas fermée à double tour comme l’évoque le scénario), ainsi que vers une petite récompense.

Bien entendu, si les Escape Game classiques font appels à de nombreux domaines, celui-ci a été conçu pour réinvestir les notions travaillées cette année en cours de mathématiques. 

Une grande partie du contenu de l’année de quatrième était balayé : Théorème de Pythagore, opérations de fractions et de nombres relatifs, programmation sur Scratch, translations, statistiques, calcul littéral.

Parmi les supports du jeu, on a pu retrouver des dominos (version calcul littéral), un QR-code à compléter, menant vers la page Wikipédia de Sophie Germain (une grande mathématicienne) grâce à une tablette, un puzzle guidant les élèves vers le logiciel Geogebra sur ordinateur, une roue permettant de décoder des messages codés par le code César…

Les deux demi-groupes se sont montrés très efficaces et organisés, et ont su remobiliser les compétences étudiées cette année, leur permettant de mener à bien l’Escape Game avant la fin du temps impartis. Un grand bravo à eux !

Et vous, seriez-vous capable de résoudre l’une des énigmes proposées ? « Tel quel, je suis peu. Tournez-moi, je suis tout. Coupez-moi en deux, je ne suis plus rien. »

Les impressions de nos élèves : 

Néïla : « J’ai adoré résoudre les énigmes sur l’ordinateur »

Ilyès : « J’ai bien aimé l’énigme sur le théorème de Pythagore, parce que j’aime ce chapitre et c’était facile. »

Nusrat : « J’ai aimé le moment où on a réussi à ouvrir la boîte à trésor qui contenait des bonbons. »

Nahéma : « J’ai aimé trouver le code de la boîte aux trésors. »

Fimandi : « J’ai préféré décoder la boîte noire avec les indices dedans. »

Hector : « J’ai préféré l’énigme sur le code César, largement ! »

Khalid : « J’ai aimé résoudre l’énigme sur le théorème de Pythagore » 

Ibrahim-Ali : « J’ai adoré ouvrir le coffre »

Anaïs : « J’ai aimé l’énigme finale qui ouvre le coffre » 

Elisa : « J’ai aimé colorier le qr code et c’est bien de travailler quand il y a un but » 

Dania : « J’ai aimé trouver la moyenne sur le tableur »

Rose : « J’ai adoré fouiller dans la salle » 

Jeanne : « J’ai bien aimé chercher les indices cachés dans la salle »

Tous : « On a adoré passer un dernier bon moment tous ensembles avant les vacances. »