Un dimanche à la Comédie Française

Lors du dimanche 9 décembre, nous nous sommes rendus, latinistes et hellénistes de 3ème, à la Comédie française pour assister à la pièce Britannicus de J. Racine.

Nous avions tous rendez-vous devant le théâtre à 13h30, sachant que le spectacle commençait à 14h. Certains sont venus en métro, d’autres en voiture, seuls ou accompagnés.

Une fois arrivés, nous avons découvert à l’extérieur une station de métro très joliment décorée, puis le splendide bâtiment de la Comédie française.

Vers 13h40, nous sommes entrés dans le hall d’accueil. A l’intérieur, l’architecture était magnifique, des lustres ornaient le plafond du théâtre, la beauté des lieux nous a vraiment impressionnés. Pour nous rendre dans la salle, nous avons dû monter des escaliers de marbre blanc, recouverts d’un tapis rouge.

Puis nous nous sommes installés dans la salle Richelieu, où se jouait la pièce. La salle était vraiment somptueuse et très grande. Nous avons eu la chance d’être assis au 1er balcon.

A 14h, les lumières s’éteignent et la pièce commence.

Britannicus est une tragédie classique, qui se passe normalement lors de l’Antiquité romaine, mais la mise en scène que nous avons vue était moderne. Le décor où se passait l’action pouvait faire penser à l’intérieur de l’Élysée. Les acteurs qui jouaient les rôles de Néron, Britannicus, Agrippine portaient des tenues modernes et récentes. Ces derniers avaient un jeu d’acteurs impressionnant, c’est ce qui nous a le plus marqués. Bien que l’intrigue soit compliquée et pas très passionnante, nous avons réussi à être captivés par la pièce, grâce au talent des acteurs et aux sentiments qu’ils réussissaient à nous transmettre.

La pièce a duré 2 heures. A 16h, elle s’est terminée, des applaudissements ont retenti dans toute la salle.

Le pièce était mémorable, elle restera dans nos esprits.

Ce fut un enrichissement pour notre culture personnelle que d’assister à un spectacle dans un lieu aussi emblématique, qui figure parmi les plus grandes institutions culturelles de France.

Cela donne envie de retourner à la Comédie française.

(Aïcha, Marie et Anaïs)